Katherine M. Sullivan

Histoire

C'était le 17 novembre. Éric Sullivanfaisait les cent pas dans la salle d'attente déserte à cette heure tardive. il y a quelques heures apeine tout allait pour le mieux. Il rentrait du boulot et allait regoindre sa femme dans leur maison. C'est alors qu'il reçu un coup de fils. Ce simple appel allait changer sa vie...

- Mr Sullivan ?

-Oui, c'est moi.

- Je suis le Dr O'Brian de l'hôpital St-John. Écouté Mr, votre femme vient d'arriver. Le placenta de votre femme a disons été "arraché".

- Il a ... Il a été arraché ?

- Enfin, il s'est détaché. Nous transportons présentement votre femme au bloc opératoire pour un césarienne d'urgence. Nous vous prirons d'arriver à l'hôpital dans les plus bref délais.

-Quoi? Euh.. Oui bien sur !

Éric fit demis tour passant en revu cette breève conversation. Il arriva à l'hôpital affolé, cherchant quelqu'un qui pourrait l'informé sur l'état de santé de sa femme et de sa fille qui allait apparament naître bientôt. C'est une infirmière d'un certain âge qui lui répondit. Elle lui affirma que les chirurgiens ferait tout ce qu'il pouvait pour sauvé sa famille. Elle lui demanda de bien vouloir replir les formulaire d'hôpital et d'attendre patiemment dans la salle d'attente. Éric remplit les papiers surtout pour s'occuper l'espris. Pour ne pas penser à sa famille qui était en danger. Alors il était là à 1h08 du matin arpentant de long en large la salle d'attente, justement en attende de bonnes nouvelles. C'est alors qu'un homme entra et l'aborda.

- Mr Sullivan, je suis le Dr O'Brian.

- Enfin raconté moi ce qui ce passe !

- Mr O'Brian, quand votre femme est arrivé ici, elle nous a dit avoir fait une chute sur le parking de l'édifice où elle travail. À la sute de cette chute le placenta s'est décollé de la paroi utérine, entrainant un travail prématuré et de nombreux saignement. Nous avons procédé à la césarienne, mais ne pouvions voir d'où venait le saignement.. Nous avons fait ce que nous avons pu, mais...

Éric fit taire ce Dr O'Brian d'un geste de la main. Il ne voulait pas qu'il le dise. Comme si le fait de prononcer ces mots rendrait le tout plus réel. Non.. Mary Sullivan ne pouvait êtres morte. Elle allait surgir en riant de ce sourire si unique lui annonçant que ce n'était qu'une blague. Mais ce genre de blague cruel ne ressemblait en rien à Mary. Elle qui était si douce. Il fini par parler.

- Taisez-vous. Je ne veux pas l'entendre. Maintenant dites moi où est ma fille.

Dr O'Brian l'entraina jusqu'à la pouponnière. Éric reconnu cette petite entre toute. Elle avait les cheveux blond presques blanc et le nezqui carractérisait tant sa femme. Il la berça tranquillement toute la nuit en lui murmurant des paroles rassurantes qui prononçait non seulement pour elle, mais pour lui aussi. Se promettant qu'il protègerait cette enfant qui lui rapellait tant sa Mary.

7 ans plutards

Katherine a 7 ans. Elle est assise sur une balançoire dans ce parc non loin de chez elle et elle regarde fixement cette femme. Elle s'appelait Cindy. Katherine se la représente comme une intruse venu lui prendre son père. Depuis la mort de sa mère, le jour de sa naissance, Éric son père n'a plus jamais eu de relation sérieuse. Il était trop occupé à s'occuper de sa chère petite Katherine. Mais voilà que cette Cindy est arrivé et Eric pensa qu'il serait bien que sa fille ait un modèle féminin. Le petite n'était pas de cet avis. Elle regadait cette intruse et espérait que quelques choses l'enlève des bonnes graces de son père. Qu'elle se ridiculise. Alors qu'elle pensait cela un vent puissant se leva autour d'elle. Emportant avec lui le frisbee d'un jeune garçon qui alla frappé de plein fouet Cindy. Persuadé que le garçon l'avait fait volontairement, cette dernière lui cria de faire attention et jura à mis-voix. Éric désaprouva le geste de la jeune femme. Comment pouvait-elle crié sur un enfant. Les enfants font des erreurs, c'est bien connu. Prétexant un rendez-vous, il reparti avec sa petite Katherine. Cette-dernière trouva bien étrange que tout cela arrive au moment où elle pensait elle même à que cette Cindy soit humilié. Elle ne pouvait pas se douter que cela était le fruit de ses pouvoirs magiques. Alors elle remercia le ciel de cet heureux hasard tout en regardant discrètement Cindy rejetter ses long cheveux noirs en arrière la mine renfrogné avant de s'éloigné à grand pas du parc.

4 ans plustard.

Ce jour-là était comme les autres quand une femme de grande taille vint cogner à la porte. Ce fut son père qui répondit.En voyant la femme , Katherine se senti intimidé, elle se mit alors à regarder fixement ses pieds, mais écoutait tout de même attentivement ce que le femme disait. Poudlard ? Elle n'avait jamais entendu ce nom quelque part. Un école de quoi ?? Elle n'avait pas put entendre sorcellerie, quelle drôle d'idée! Katherine releva la tête et écouta le femme raconté qu'elle allait allé dans cette école où on lui apprendrait à êtres une sorcière. Son père parraissait perplexe, mais au fur et à mesure que la femme parlais il semblait s'ouvrir à cette possibilité. Katherine aussi. Cela expliquait tant de choses étranges. Ce jour, avec cette Cindy notament. Katherine sorti enfin de son mutisme et posa une foule de question sur le monde des sorciers et buvait les paroles de la femme. Cette dernière semblait ravie de la voir ainsi s'interressé et posé des questions. Elle lui remi un lettre et une adresse où elle pourrait prende ses fournitures scolaires. Cette nuit-là Katherine s'endormi en pensant à des balais volants, à des formules magiques et à des potions fabuleuses, la lettre miraculeuse caché sous son oreiller.

Maintenant

Les années passèrent et voilà que Katherine est bien intégré dans le monde de la sorcellerie. Mais maintenant, avec tout ce qui se passe d'inquiètant dans l'école, mais aussi dans le monde des sorciers, la 6ème année de Katherine à l'école s'annonce mouvementé. C'est cepandant avec curiosité et témérité qu'elle se lance dans cette avant dernière année d'étude dans ce colège au milles mystères