Jillana {Finito

Jillana Dinêl

c. DEL♦PHIE

▬ âge; 11 ans
▬ année à Poudlard; 1ère
▬ date de naissance; 16 mai
▬ matière enseignée/profession (adulte); //
▬ baguette; 23.6 centimètres, bois de frêne et goutte de venin d'Acromentula
▬ créature; une part infime de Métamorphomage, trop infime pour être considérée comme telle.
▬ plus grande peur; Perdre son frère
▬ plus beau souvenir; lorsqu'elle est allée en haut de la tour Effeil avec son frère, quand elle a cru pouvoir serrer le monde dans ses bras.
▬ point fort/faible; Jill est très douée en DCFM, car elle est rapide et agile, mais elle a beaucoup de mal à se rappeler de tous les sortilèges, par manque de mémoire.

Réalité

▬ design; trop sombre, mais jvais essayer d'en faire un pas trop sombre ni trop clair, ce qui sera un véritable challenge x)
▬ forum; pas objective ^^ mais comment jkiiiiiiffe la nouvelle fiche de présentation jme suis surpassée... Je m'automaime.
▬ avatar; Ali Michael
▬ mot de passe; Ok by Chess'

Caractère

Jillana tutoie le soleil et joue avec le vent. Avec grâce et agilité. Jeune, mais intelligente, la jeune fille est poète à ses heures perdues; son élocution est parfaite et elle emploie généralement des mots qui ne sont pas forcément de son âge. Elle a une manière de s’exprimer que quelqu’un de l’extérieur pourrait qualifier de pompeuse; en réalité, elle met un point d’honneur à bien exprimer ses pensées.
Calme, avec une détermination à toute épreuve, Jill réussit la plupart des choses qu’elle entreprend. S’exerçant beaucoup, elle prend soin de son corps comme personne. Les exercices physiques, loin d’être un calvaires, sont pour elle quelque chose qui la libère; ses gestes précis, déterminés, sont parfaits. Elle se contrôle avec précision, et court tous les matins de cinq à six heures.
Elle sait être sérieuse quand il le faut, mais son humour ressort très souvent, surtout lorsqu’elle a peur; et Jill a peur d’à peu près tout, le courage est quelque chose qu’elle ne connait pas. Se mettre au devant du danger? Mais pourquoi donc? Plutôt courir là où elle ne risque pas de se faire manger!
Vive d’esprit, Jillana trouve souvent des répliques qui mouchent les gens; mais jamais elle ne se bat. Elle a une confiance éperdue en elle, peut-être trop. Agile, souple, féline, tout ce qu’elle fait à été réfléchi auparavant; elle a un contrôle absolu de son corps. Rapide, précise, décidée, l’enfant est quelqu’un qui, si elle devait se battre, ferait plus confiance à son corps aiguisé plutôt qu’à sa magie.
Proche de la nature, elle peut passer des heures assise dans l’herbe sans bouger; mais une fois qu’elle se met en mouvement, il faut toujours que ses mains tripotent quelque chose; le long collier de bois autour de son cou en est la preuve, car elle l’entortille tout le temps autour de ses doigts.
Un peu timide, pas très ouverte, Jillana ne s’approche pas trop des autres; on pourrait la qualifier d’associable. Mais en réalité, c’est une grosse méfiance de sa part envers le monde extérieur. Rusée, maligne, elle est prête à tout pour obtenir ce qu’elle désire.

Physique

Jill est plutôt grande pour son âge. Elle ne pèse pas bien lourd, mais son corps n’est que muscles et nerfs. Lorsqu’on la voit, on a une impression de liberté totale; elle se meut avec agilité, décontraction, souplesse. Parfois, cela fait penser à un chat.
Des cheveux bien trop fins à son goût, couleur caramel, descendent en une cascade raide jusqu’au milieu de son dos. Ses pouvoirs très faibles de métamorphomage lui permettent uniquement d'y faire apparaître une mèche de la couleur de son choix, et en général, cette mèche est grise pour rappeler ses yeux, ou bien bleue claire. Elle les attache régulièrement en un tour de main. Ses yeux sont couleur orage, et pétillent souvent de malice et d’humour. Elle se maquille, bien qu'elle soit jeune, et cela la vieillit de deux ou trois ans, lui donnant un air ténébreux. Des cils noirs et épais surmontés de sourcils tout aussi noirs et épais, cela donne à son petit minois une expression un peu dure, renforcée par sa mine méfiante.
Très fine, mais musclée, elle court tous les matins de cinq heures à six heures dans le parc de Poudlard, avant d’aller prendre un solide petit déjeuner. Son corps lui obéit à la perfection, et être privé de cette capacité de mouvement serait pour elle une torture. Ses positions clament son envie de liberté.
Généralement, la jeune fille porte des vêtements moulants dans lesquels elle se sent à l’aise, mais n’aime pas porter cette robe de sorcière obligatoire qui, selon elle, entrave ses mouvements. Ses vêtements sont souvent noirs, ce qui renforce l'air ténébreux qu'elle se donne, mais qui est vite oublié une fois qu'elle ouvre la bouche. Lorsqu'elle bouge, cela donne une impression de puissance et d'harmonie étrange, mais même immobile, elle déploie une aura surprenante.

Histoire

« Je m’appelle Illian Dinêl. Je pourrais vous dire quand je suis né, même vous préciser l’heure et pourquoi pas les minutes; mais ceci n’est pas mon histoire. Ce que je vais raconter là, c’est l’histoire de ma petite sœur, Jillana. Si c’est moi qui raconte, c’est parce que nos vies sont intimement liées, étroitement serrées, entrelacées jusqu’à la mort.
J’avais dix ans lorsqu’elle est née. Le seize mai. Minuscule, elle tenait au creux de mes bras tremblants et me regardait déjà avec confiance de ses grands yeux gris. Elle naissait dans le malheur, et n’en avait pas encore conscience.
Notre père était mort quatre mois plus tôt, au grand désespoir de notre mère. Celle-ci m’a alors avoué qu’elle était une sorcière; je n’ai pas été choqué par cette annonce. Pour moi, elle était une magicienne; mais si elle se donnait le nom de sorcière, d’accord.
Il s’est avéré que je n’avais pas le don. Je dois avouer ma déception de ne pas recevoir la lettre de Poudlard.
Notre mère fut fortement affaiblie par l’accouchement. Je la pressais de question par rapport à son monde; elle m’a enfin avoué qu’il existait un hôpital pour sorciers. Pourquoi n’y allait-elle pas? Cette fois, elle ne m’a pas répondu.
Ce n’est que treize ans plus tard que je sais: elle n’avait plus envie de vivre. La mort de son mari l’avait profondément touchée, et même pour nous, elle ne voulait plus se battre. Jill n’avait pas deux ans que notre mère mourut. Un coup dur pour moi, qui avait douze ans et une enfant sur les bras.
Je grandis trop vite. Il fallait grandir vite pour ne pas que ma jeune sœur se retrouve séparée de moi, dans une famille d’accueil moldue qui ne comprendrait pas si jamais elle développait les dons sorciers.

Je me suis enfui avec elle. Mais je savais que, à douze ans, je n’allais pas aller bien loin. J’étais incapable de subvenir aux besoins d’une petite fille aussi jeune.
J’ai trouvé une dame assez âgée, et je lui ait dépeints un tableau noir d’une existence qui n’était pas la notre. Pour cette dame, Elizabeth, cela faisait déjà un an que je courais les rues; mes parents étaient morts sous mes yeux, et j’avais échappé de peu à la mort moi-même. Attendrie, elle nous a gardé chez elle.
J’avais menti avec effronterie pour obtenir ce dont j’avais besoin; mais je ne savais pas garder le mensonge intact. Après un an de vie commune, je finis par avouer la vérité à notre tutrice, et elle fut compréhensive. Elle nous aimait comme les enfants qu’elle n’avait jamais eu, et nous garda.

Jillana grandit. Enfant combative mais silencieuse, elle déploya un charme fou autour d’elle, mais resta dans l’ombre. Elle aussi dû prendre ses marques dans ce monde trop vite. Elle se découvrit un pouvoir étrange: parfois, une mèche apparaissait dans ses cheveux, grise, ou bleue, la vieillissant un peu, lui donnant un air mystérieux; il ne faisait aucun doute qu’elle deviendrait une sorcière.
Jill courait. C’était, d’après elle, le seul moyen de se libérer des tensions. À neuf ans, elle détalait plus vite qu’un lapin, cognait dans des sacs remplis de sables que je lui avais maladroitement fabriqués. Sombre, renfermée, elle ne se confiait qu’à moi.
À onze ans, elle reçut la lettre de Poudlard, mais était désespérée à l’idée de me quitter. Je lui servis une phrase que j’avais lu dans un livre: « Je serai toujours avec toi, quoi qu’il arrive… ici… » et j’avais posé la main sur son cœur. Elle avait eu un faible sourire, ayant elle aussi lu ce livre, puis était montée dans le train.

Voici donc quelques mois qu'elle est à Poudlard. Je reçois des lettres régulières, mais je n'ose pas lui dire qu'Elizabeth est morte... cela la renfermerait plus qu'elle ne l'est déjà, bien qu'elle n'ait pas beaucoup de raisons pour l'être... »

Autoaime-toi si tu veux! lol
bon bah, j'vais pas te resservir mon re-re-re-re-bienvenue. Ah bah c'est fait! (:

pour la maison, je vois bien Serdaigle. ^^

Bon, bah elle va rejoindre Jude alors x)) Trois voix contre une, je m'incline !! :p

Pourquoi, tu voulais la mettre où?

Jsais pas . Autre part . Pour pas avoir deux Serdaigle Razz

mais ça m'dérange pas (:

Bah, ça aurait pas été poufsouffle, ni gryffy. Et puis, j'trouvais qu'elle faisait plus serdy que serp. Donc voilou! ^^

J'aimerai bien que sur le forum y ait une icone "j'aime" comme sur facebook. Ca m'éviterait de répondre, de flooder, et de raconter n'importe quoi x)

Bref, en gros, j'aime, jsuis d'acc avec toi ^^

Je sais que t'es d'ac, ne suis je pas parfaite? xD